Quelques témoignages
" Je traversais une période compliquée dans ma vie, le travail, la maladie, le sommeil. Tout allait de travers. J'étais épuisée physiquement et intellectuellement...
J'avais un besoin vital de me relaxer, me ressourcer, me recentrer, et prendre du recul.
La sophrologie s'est alors présentée à ma porte au sens propre comme figuré. A la porte d'en face de mon appartement pour être exact. Je ne pouvais plus reculer, il fallait y aller.
Après 1 ou 2 séances j'étais sceptique, puis rapidement j'ai commencé à me sentir mieux ou en tout cas plus apaisée. Pendant les séances, j'ai commencé à ressentir à nouveau mon corps que j’avais laissé de côté trop longtemps. Je recommençais à accepter la vie en moi. Je me suis beaucoup reposée pendant les séances et j’ai pu récupérer de mes nombreuses nuits d'insomnie.
J'ai accepté avec plus de philosophie mes peines, et mes pleurs. J’ai pris du recul et repris confiance en la vie, en Ma vie.
La sophrologie m’a vraiment aidée à tenir le coup dans cette période complexe à gérer. (Sophrologie et massages ont été mes remèdes).
Après près de 20 séances, ma vie se trouve être plus douce, plus en harmonie. Je suis parvenue à prendre du recul et je suis plus à l'écoute de mon corps et mon cœur. J'ai calmé mon cerveau en perpétuel effervescence. J’ai pu prendre de grandes décisions pour ma vie future et j’avance pas à pas, plus sereinement.
Je remercie beaucoup ma sophrologue pour m’avoir accompagnée et m’avoir aidée à accepter ma vie telle quelle est, avec ses difficultés et tout ce qu'elle a de plus beau. Merci encore." Lola.
"Grace à la pratique de la sophrologie, je me réserve chaque semaine un moment off où je me relaxe profondément. Cette pratique m'aide à me pauser, me détendre et me ressourcer, c'est très efficace.
C'est une discipline subtile et personnelle, pratiquée régulièrement, c'est un atout dans une vie où tout va toujours trop vite. Voila... pas évident d'en parler...mieux vaux en faire !"
"Élève en terminale, je suis venue à la sophrologie après mon bac blanc durant lequel j'étais très stressée au point de m'en rendre malade, j'étais très fatiguée, je pleurais, je paniquais aux épreuves.
Avec la sophrologie j'ai appris à mieux me connaitre, maintenant je sais que je me contracte dans le dos quand je suis anxieuse.
La relaxation m'a permis de relacher les muscles et les tensions.
La sophrologie a été un moyen pour moi de faire une pause dans ma semaine pour me détendre. J'étais moins stressée et plus sereine pour les épreuves du bac, ça m'a bien aidé!
J'ai obtenu mon bac mention bien!" Laetitia, 18ans.
Pour avoir vécu des séances de sophrologie à l'occasion de la préparation à l'accouchement, je m'attendais à des séances dites "de relaxation" avec les enfants de ma classe (double niveau, petite et moyenne section).
Aussi ai-je été surprise par les toutes premières séances de sophrologie.
Les enfants ont quasiment tout de suite adhéré à cela, mais les activités me paraissaient parfois les "agiter", parce que, en fait, j'étais dans une autre attente, non adaptée aux besoins des
enfants. J'ai compris, par la suite que cette apparente agitation leur permettait, en fait, de "s'autoriser à".... et que, si nous, enseignants, nous sommes toujours dans l'espoir d'une
classe "idyllique" (calme et sereine..... d'ailleurs, en vain), l'objectif, ici, n'était pas du tout le même.
J'ai compris que pour obtenir de la concentration et du calme, il faut d'abord permettre aux enfants de "bouger, respirer, crier". Beaucoup d'activités sont fondées sur la respiration, le
ressenti, l'ancrage, la découverte du corps. Par ailleurs, c'est une activité, où chacun peut trouver sa place et sa mesure, bref, développer l'autonomie.
Par ailleurs, ce n'est parce que les enfants paraissent "agités" (à nos yeux d'adultes), que le travail ne se fait pas en profondeur. Les résultats qui se sont manifestés après 5 séances de
sophrologie ont d'ailleurs été probants. Lorsqu'ils rentrent en classe, les enfants s'assoient spontanément au coin rassemblement et ferment les yeux pour se concentrer, dans le
silence. C'est notamment un des enfants qui a induit ce comportement devenu automatique après chaque séance de motricité (que je termine souvent par quelques exercices que nous avons appris
en sophrologie), ou en classe.
Les enfants en ont parlé à leurs parents et regrettent beaucoup que ces séances n'aient pas été plus nombreuses. Il est sûr que nous sommes restés sur "notre faim" et nous souhaitons beaucoup
que cette expérience se prolonge l'an prochain.''Christine, enseignante.